La Réunion, une île d’exception classée par l’UNESCO
La Réunion est une île où se concentrent nombre de paysages sauvages uniques. Sa faune et sa flore sont d’une grande diversité, c’est la raison pour laquelle l’UNESCO a classé ce territoire au Patrimoine Mondial de l’Humanité en août 2010.
La Réunion, un espace naturel à préserver
La Réunion-Une île classée à l’UNESCO
L’île est le 35ème patrimoine naturel français à être classé par l’UNESCO. L’organisme a décidé de classer pas moins de 105 000 hectares de la Réunion. Bien que sa superficie représente à peine 118,35 km², l’île voit 40% de sa surface classée, et pourra le cas échéant bénéficier de fonds de préservation mis en place par l’UNESCO. Un ‘coup de pouce’ essentiel pour préserver ce petit bout de paradis.
Entres autres paysages classifiés de l’île, et parmi les plus impressionnants, on retrouve le Piton d’Anchaing du Cirque de Salazie, le Piton du Sucre, la Chapelle du Cirque Cilaos, la Grande Chaloupe au nord, et la Mare Longue ; ce parc, situé au sud de la Réunion, est le Parc National qui abrite une des dernières forêts primaires que compte la planète. Ces sites sont plus que jamais des sites exceptionnels, dont la beauté ne trouve pas d’équivalent. Le classement de ces espaces naturels permettra à la Réunion de conserver la biodiversité des Mascareignes, ainsi que ses paysages uniques au monde.
Grâce à l’UNESCO, ces espaces naturels fragiles pourront être préservés pour que les générations futures puissent elles aussi connaître les beautés et merveilles de l’île.
Etre classée pour être connue de tous
Au-delà de la préservation de son environnement, la reconnaissance de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture pourra aider l’île à se développer économiquement. En effet, le développement touristique bénéficiera des nombreux séjours des curieux qui souhaiteront voir de leurs propres yeux l’une des 188 merveilles naturelles que recèle notre planète. Ce label représente un soulagement incontestable pour l’île qui était encore, à l’époque, sous les effets de la crise due à la maladie du chikungunya.
